Marcelle Poirriez : son influence à la CACEM Martinique
Idées principales | Détails à retenir |
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🏛️ Engagement politique | Siéger dans plusieurs commissions clés à la CACEM couvrant quatre communes et 150 000 habitants |
📊 Gouvernance transparente | Promouvoir la diffusion de comptes-rendus simplifiés et l’organisation de six réunions de quartier en 2024 |
♻️ Transition écologique | Valoriser plus de 12 000 tonnes de déchets et réduire de 30% les déchets enfouis depuis 2020 |
🚲 Mobilités alternatives | Développer un réseau de pistes cyclables intercommunales atteignant 22 kilomètres d’ici 2026 |
👥 Proximité citoyenne | Participer à plus de 25 événements terrain en 2023 et financer 19 projets associatifs |
🏘️ Réhabilitation urbaine | Engager la rénovation de 400 logements à Dillon avec création d’espaces verts en 2024 |
Marcelle Poirriez est l’une de ces personnalités politiques dont l’influence à la CACEM Martinique mérite qu’on s’y attarde. En tant qu’observateur attentif des dynamiques territoriales, j’ai souhaité vous présenter son parcours et son impact sur notre communauté d’agglomération qui, rappelons-le, représente 40% de la population martiniquaise. Vous pourriez être surpris par l’étendue de ses actions et sa capacité à fédérer autour de projets concrets.
L’engagement politique et communautaire de Marcelle Poirriez
Élue municipale et communautaire, Marcelle Poirriez s’illustre par son implication active au sein de la Communauté d’Agglomération du Centre de la Martinique. Couvrant Fort-de-France, Schœlcher, Saint-Joseph et Le Lamentin, la CACEM constitue un pôle stratégique pour près de 150 000 habitants. En siégeant dans plusieurs commissions clés, notamment celles liées à l’environnement et à la politique de la ville, elle contribue directement aux décisions qui façonnent notre territoire.
J’ai observé que son engagement dépasse largement le cadre institutionnel. En 2023, elle a rapporté trois délibérations majeures, dont le plan climat-air-énergie territorial, démontrant sa capacité à porter des projets structurants. Sa présence aux conseils communautaires n’est pas passive – elle y défend activement des positions en faveur de l’inclusion sociale et du développement durable.
Son approche de la gouvernance communautaire m’a particulièrement marqué. Elle milite pour une transparence accrue dans la communication publique, encourageant la diffusion de comptes-rendus simplifiés et l’organisation de réunions ouvertes. Cette initiative a porté ses fruits en 2024 avec l’organisation de six réunions de quartier – un record depuis la création de la CACEM. Comme pour vos messages professionnels sur répondeur, elle comprend l’importance d’une communication claire et efficace.
Sa vision politique transcende les clivages partisans, lui permettant de collaborer efficacement avec les élus des quatre communes. Cette capacité à construire des ponts facilite la mise en œuvre de projets intercommunaux cohérents et ambitieux.
Transition écologique et développement durable sous son impulsion
Face aux défis climatiques qui touchent notre île, Marcelle Poirriez s’est positionnée comme une ardente défenseuse de la transition écologique. Son action en faveur de l’économie circulaire et de la valorisation des déchets a contribué à des résultats tangibles. La plateforme de tri au Lamentin illustre parfaitement cette réussite : en 2023, plus de 12 000 tonnes de déchets ont été valorisées, réduisant de 30% la part des déchets enfouis par rapport à 2020.
J’ai suivi avec intérêt ses initiatives de sensibilisation à la réduction de l’empreinte carbone. Le programme d’accompagnement des foyers vers des pratiques écoresponsables qu’elle a soutenu à Fort-de-France a touché plus de 1 800 ménages en 2023. Ces actions concrètes confirment sa capacité à transformer les ambitions environnementales en réalités quotidiennes pour les habitants.
Voici les axes principaux de son engagement écologique :
- Valorisation des déchets et économie circulaire
- Sensibilisation des ménages aux pratiques écoresponsables
- Développement des mobilités douces
- Protection des espaces naturels
- Réduction de l’empreinte carbone du territoire
Le développement des mobilités alternatives représente un autre pilier de son action. Avec son soutien, la CACEM développe activement un réseau de pistes cyclables intercommunales qui devrait atteindre 22 kilomètres d’ici 2026. J’apprécie particulièrement son approche pragmatique qui inclut également l’expérimentation de navettes électriques en centre-ville, alliant ainsi innovation et respect de l’environnement.
Proximité et action sociale sur le terrain
Ce qui distingue véritablement Marcelle Poirriez, c’est sa présence constante auprès des habitants. Elle consacre un temps considérable à rencontrer les acteurs de terrain, les associations locales et les populations vulnérables. Cette proximité lui confère une compréhension fine des besoins réels du territoire.
Sa collaboration avec les associations locales illustre parfaitement cette démarche. En 2022, elle a contribué au financement de 14 projets associatifs dans le cadre du fonds de soutien à la vie associative communautaire, pour un montant global de 280 000 euros. Des structures comme Madin’Jeunesse ou Femmes Solidaires Martinique bénéficient régulièrement de son soutien.
Année | Événements terrain | Projets associatifs soutenus | Budget alloué |
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2022 | 18 | 14 | 280 000 € |
2023 | 25+ | 19 | 305 000 € |
2024 (prévisionnel) | 30 | 22 | 350 000 € |
En 2023, j’ai noté sa participation à plus de 25 événements de proximité, comme les diagnostics en marchant ou les forums citoyens. Cette présence active sur le terrain crée un lien direct entre les institutions et les citoyens, renforçant la confiance dans l’action publique.
Vision urbanistique et reconnaissance publique
L’aménagement du territoire constitue un autre domaine où l’influence de Marcelle Poirriez se fait sentir. Elle défend une vision équilibrée qui concilie développement économique, amélioration de la qualité de vie et préservation des espaces naturels. Les projets de réhabilitation urbaine qu’elle a contribué à relancer dans des quartiers comme Dillon à Fort-de-France ou Fond Lahaye à Schœlcher en témoignent.
À Dillon, près de 400 logements sont concernés par les travaux engagés en 2024. Ces projets incluent non seulement la rénovation de logements sociaux, mais aussi la création d’espaces verts et le développement de voies pour les mobilités douces, reflétant sa vision holistique de l’urbanisme.
La reconnaissance dont elle jouit auprès des habitants et de ses pairs est révélatrice de son efficacité. Les enquêtes menées par la CACEM montrent que 68% des habitants reconnaissent l’utilité des actions de proximité menées par leurs élus, avec une satisfaction particulière pour les projets qu’elle porte dans les quartiers populaires.
Je constate que sa capacité à dialoguer avec tous les partenaires, au-delà des clivages politiques traditionnels, lui permet de faire avancer des projets structurants à l’échelle intercommunale. C’est cette approche collaborative et pragmatique qui caractérise son action et explique son impact significatif sur le développement de notre territoire martiniquais.